Compostelle par 4 chemins

je ne recommence pas avec la tente : en cas de pluie, c'est l 'horreur ! alors se trimbaler même 1kg de tente , c'est vraiment de trop.

portant bivouaquer sans abri en cas de pluie c'est pas top  !

donc, l'an dernier j'avais eu une idée, écartée au lu et entendu de mon entourage :

 "ça fait clodo"

avec l'expérience de mai, je reprends l'idée ! LA BACHE

d'abord ça ne  fait pas clodo : il faut des spectateurs pour dire cela, et les bivouacs sont toujours discrets, hors vue de quiconque. donc ......

ensuite j'ai bien regretté cette fichue bâche ..... et ma tente m'a tellement "gonflée"  que je l'ai abandonnée dans un gite .... donnée à l'adoption  en quelque sorte !

je désire :

- trouver de toute manière un abri couvert : grange, cabane ect .... pour se protéger un max du vent et de la pluie.

- mais cela ne protège pas la plupart du temps de l'humidité qui déboule (sauf abri totalement fermé, ce qui est rare) vers 5 h du mat et vous glace les os ... (je me protégeais en me recouvrant de mon poncho de pluie, mais ça glisse, il faut tout le temps le remettre en place et ça te gâche les dernières heures de sommeil)

- et puis, on peut ne pas trouver et devoir bivouaquer dans mère nature (c'est même très sympa).

donc la bâche

- en abri couvert, sert de toile pour s'isoler du sol et son humidité (dessus dessous)

- en bivouac nature sert de toit ou bien on s'enroule dedans, tout simplement

sachant qu'en cas de gros mauvais temps, j'irais en gite.

un exemple d'utilisation

avec la même ficelle que celle emportée pour faire sécher le linge

je vais expérimenter durant la balade d'aout "LE LONG DE L'EAU" et je prendrais une décision pour le redémarrage du camino en septembre

et voila !